Save our environment_Save the world

06/02/2020 17:06

Save_our_environment

Le saviez-vous ? Que lorsque notre environnement se meurt nous perdons aussi des vies.
Le saviez-vous ? Que lorsque nous tuons l’environnement nous nous suicidons à petit feu.

Notre monde se meurt peu à peu, année après année et jour après jour. Réveillons-nous donc ! Avant qu’au petit matin le monde ne s’écroule sur nos têtes et qu’il soit malheureusement trop tard.

Sauvons notre monde, sauvons notre environnement, sauvons nos vies.
L’environnement c’est l’espace vital dans lequel nous vivons, c’est la faune et la flore, ce sont ces lieux de féerie que nous adorons et où nous nous évadons au loin vers le paradis sur terre, pour le temps d’un moment oublier à quel point la vie peut être rude des fois. L’environnement c’est aussi la nature et toutes les victuailles dont elle nous gratifie, c’est l’air que nous respirons et qui maintien nos vies allumées telle une belle lampe vive. Ainsi, mieux se porte l’environnement et mieux se meut nos vies. L’environnement c’est donc in fine comme un phare ou même une torche, quand ses lumières et ses vies faiblissent on est de moins en moins éclairé et précis sur nos chemins.

Sauvons donc notre environnement ! Sauvons-le non pas parce que nous sommes des gens biens et sympathiques ou encore des amoureux de la nature et de la providence. Mais sauvons-le pour nous sauver nous-mêmes. Plus qu’une question de façade la question environnementale est aujourd’hui une question de vie et de survie qui nous interpelle tous, où que nous soyons, qui que nous soyons, gouvernants, agriculteurs, industriels, manœuvres, etc. Nous devons tous nous y pencher ou alors nous périrons tous comme des bêtes. D’ailleurs si nous ne nous y intéressons pas dès aujourd’hui qui le ferait ?

Nous sommes peu à peu entrain de creuser le lit de notre chute collective. L’environnement s’est gravement détériorer ces dernières décennies. L’Homme et son action en sont les coupables patentés. On dirait que cet Homme est de plus en plus inconscient et inconséquent. On le voit aujourd’hui encore violenter l’environnement de manière ubuesque. Tout se passe comme s’il n’y avait jamais eu des sensibilisations à l’échelle internationale sur la nécessité et l’urgence de sauver notre environnement. Tout se passe comme si les réflexions et résolutions des COP 20, 21 et autres n’engagent que ceux qui y participent. Tout se passe comme si le monde avait atteint son apogée et devrait fatalement mourir pour renaitre. Tout se passe comme si l’humanité tendait vers sa fin et que cette génération était l’ultime génération. On pollue à outrance, balayant du revers de la main les législations nationales sur la protection de l’environnement. Dans certains pays tout se passe sous le regard complice des dirigeants qui pour quelques billets choisissent de se taire et de détourner le regard. Le capitalisme gagne du terrain comme de la gangrène, on produit de façon effrénés et inconsidérée, les ressources naturelles sont bradées et le chapelet des vœux pieux du développement durable et ses principes n’intéresse personne sinon que les organismes de la francophonie et des nations unies qui s’y occupent. La cadence endiable la société toute entière, les grands comme les petits. Nos rues sont devenues de véritables dépotoirs d’ordures de toute nature, les matières plastiques colonisent tous les drains des grandes villes, la pollution sous diverses formes s’y mêle. C’est un véritable tintamarre, un bal macabre auquel la société se livre.

Résultat des courses, on assiste aujourd’hui à un réchauffement climatique de grande amplitude dû à la porosité de la couche d’ozone. Les saisons sèches durent plus longtemps et sont très chaudes approchant la canicule. Les villes perdent de leur attrait et leur saveur, le paysage est de plus en plus lugubre. L’air pollué de substances illicites occasionnent de nombreux troubles et maladies chez les Hommes. L’environnement s’érige de plus en une cause majeure de mortalité. Il urge néanmoins d’inverser cette tendance qui n’est alimentée que par l’Homme lui-même.
Pour y parvenir, il faudra assurément intensifier la sensibilisation des masses sur la nécessité et l’importance d’un environnement viable. Par ailleurs, d’autres initiatives plus porteuses et à fort impact consistent aujourd’hui à promouvoir les métiers de l’environnement à travers ce que l’on appelle « économie verte ». C’est ainsi qu’au Cameroun par exemple bon nombre de Start-up se sont spécialisées dans la transformation et la revalorisation des déchets plastiques qui servent de matières premières pour la confection des pavés plastiques. D’autres encore collectent les ordures issues des ménages et les utilisent pour produire des engrais biologiques utiles en agriculture. Les métiers de l’environnement apparaissent donc à plusieurs égards comme une stratégie efficace pour la protection de l’environnement en même temps qu’ils permettent de créer des emplois et de la richesse dans ce qu’il convient d’appeler économie circulaire. Par ailleurs la responsabilité sociale et ou citoyenne des personnes et des entreprises est interpellée au premier chef. Ceci passe par l’appropriation des gestes et reflexes simples en société tels que ne pas jeter les ordures au sol, garder la maison et les alentours propre, produire de façon mesurer et saine, respecter la législation en matière de gestion environnementale, mener des études d’impact environnemental avant le début de toute activité pouvant avoir des externalités négatives. Au Cameroun par exemple la Société Anonyme des Brasseries du Cameroun (SABC) a lancé un projet social qui vise à collecter et à recycler les déchets plastiques dans certaines grandes villes.

Au final réussir le challenge de la sauvegarde de l’environnement nécessite des actions de nature hautement inclusive si l’on veut atteindre des résultats probants. Les différents acteurs doivent prendre conscience de ce que l’environnement est un patrimoine commun et de ce point de vue nous interpelle et nous engage tous que nous soyons coupables ou innocents, noirs ou blancs et jeunes ou vieux...